Nom: d'Autriche
Prénom: Marie-Thérèse
Âge : 29 ans
Statut: Reine de France, Epouse du Roy.
Nationalité: Espagnole
Physique: Marie-Thérèse garda ses racines Espagnoles, teint mat, cheveux marrons. Elle n'était pas très belle comme les favorites du Roy, mais à son arrivée à la cour, elle fut maquillée, coiffée et habillée avec les plus belles robes. Ses yeux marrons sont mystérieux et mornes, comme morts. Elle n'est pas très grande, et me sure environ 1.65 mètre. Elle est plutôt fine, mais ce n'est pas pour autant qu'elle va attirer son mari qu'elle aime. Ses jambes, par contre, son légèrement arquée, cela ne se remarque pas grâce aux robes de la cour, mais... mise à nue, peut-être.
Psychologie: Marie-Thérèse est une jeunne femme plutôt modeste, qui se contente, et ne dit rien, ne se rebelle pas. D'ailleurs, se serait bien déplaire à son mari, lui qui aime tant l'ordre et la discipline. Pour ça, elle lui en donnera de la discipline. Elle ne lui causera jamais aucun souci. A son arrivée à la cour de Versailles, la mère de son époux ne vera en elle sa bru qu'une femme féconde, bonne à lui faire des princes et des princesses. Elle ne se montra jamais à la hauteur de son statut de Reine. Les représentation en public était un désastre...
Elle se révéla très généreuse, après s'être repliée sur elle-même et avoir retranscrit l'ambiance de Madrid en s'entourant de ses femmes de chambres espagnoles, de moines et de nains.
Arme: Elle n'a pas d'arme, elle à la merci de tout les dangers. Seul son mari la protège.
Signe particulier ou objet fétiche: Aucun objet fétiche, mais ses jambes arquées peuvent bien être un signe particulier.
Histoire : (15 lignes au minimum, pour raconter son passé)
A la cour de Madrid, le 10 septembre 1638, naquit la princesse Marie-Thérèse d’Espagne. Son père, le Roy d’Espagne Pilippe IV et sa mère, Elisabeth de France lui donnèrent une éducation rigide, étroite et dévote. Elle était en quelque sorte soumise. Dès son plus jeune âge, elle voulut se marier avec son cousin germain, le futur Roy de France, Louis. Ils étaient nés avec plusieurs jours d’écart. De toute manière, elle l’aurait épousé. Une affreuse guerre faisait rage à cette époque entre l’Espagne et la France. Les parents de la petite princesse « donnèrent » leur fille à la couronne de France contre un pacte signant l’arrêt de guerre qui affaiblissait l’Espagne. Pendant toute son enfance, sa mère la berça avec les magnifiques récits de la France, et au contraire, les affreuses histoires Espagnoles. Son amour pour son cousin venait de là. Ils avaient toujours « bourrer le crâne » de leur fillette avec des mensonges aberrants. Marie-Thérèse pensa toujours que son mari était éprit d’elle, car avant leur mariage, il lui envoya toute sorte de cadeaux et de lettres d’amour passionnées. Mais tout ceci n’était qu’intérêts. Tout le monde y trouvait son compte, l’Espagne évitait la guerre qui commençait à peser sur l’économie, et du côté François, ce mariage donnait au peuple une image du couple royale qui s’aimait. Trois jours avant la cérémonie, les futurs époux se retrouvèrent sur une île, choisie par le Roy. Le décor était des plus romantique, la princesse et future Reine, n’y vit que du feu.
Le mariage se fit le 9 juin 1660 à Saint-Jean-de-Luz, selon le traité des Pyrénées, fait par Mazarin. Cela était pour le Roy de France, une simple raison d’Etat, rien de plus.
En arrivant à la cour de Versailles, la Reine de France ne parlait pas un mot de François. Sa belle-mère, Anne d’Autriche, la prit sous son aile, et tenta de lui enseigner l’art d’être Reine, en vain. Même si elle finit par atteindre un bon niveau de François, ses apparitions publiques étaient de plus en plus misérable et la couvraient de ridicule. La mère de son époux ne vit plu qu’en elle une femme fertile…
Elle n’avait pas tout à fait tort, car même si son fils délaissa sa femme bien vite pour ses nombreuses favorites, il la touchait toujours, et elle lui donna six enfants. Louis, Le Grand Dauphin, Anne-Elisabeth, Marie-Anne, Marie-Thérèse, la Petite Madame, Philippe et Louis François. Seulement un survécut à cette forte mortalité. Louis, le Grand Dauphin. Ceci est dû à la forte consanguinité entre Louis XIV et Marie-Thérèse.
Elle se replia sur elle-même, s’entourant de gens qu’elle appréciait, elle recréa l’atmosphère de Madrid avec des femmes de chambres Espagnoles, des nains et des moines. Elle se concentrait sur les malades, les pauvres et les déshérités et accorde des dots aux familles pauvres, pour que leurs filles se marient. Que lui réserve le destin ?